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 Un jour comme les autres [pv Mione]

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Ronald B. Weasley
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Ronald B. Weasley


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Message Un jour comme les autres [pv Mione]   Un jour comme les autres [pv Mione] Icon_minitimeVen 24 Fév - 16:02


« Reality is a Lie »

« Le désir de dominer est une passion dévorante qui étouffe tout sentiment. »

La salle commune des lions était remplit d’élèves malgré le jour tout à fait ordinaire qu’était ce jeudi. Beaucoup d’entre eux n’avaient pas, cour, d’autre séché peut être et les quelque restant devait être malade mais n’avait pas pu rester à l’infirmerie qui était bondé de monde en ces temps de troubles. En ce moment il était très dure de ce baladé dans les couloirs du château sans croisé un conflit entre Serpentard et Gryffondor qui parfois tournée très mal et malheureusement cela touché souvent ceux qui passer par là par hasard. Cela n’était nullement le problème d’un certain sixième année qui pour sa part profité allégrement de son heur de repos et n’avais pas envie de pensait a tout cela, ne serait-ce que quelque seconde. Assit dans un fauteuil, le dernier numéro de son magazine de quidditch préféré il était tout bonnement bienheureux et n’avait aucune envie qu’on vienne lui prendre la tête avec ce genre de chose, c’était son heure de pose et cela dans tous les sens du terme. Le pire dans tout cela c’était qu’il ne c’était pas gêné pour volé le magazine qu’il tenait entre les mains, ou plutôt « empreinte » au première année qui c’était tenu sur ce fauteuil a peine quelques minutes avant lui. Ron n’avais pas mis un pied dans la pièce que le première année lui avait offert sa place et son magazine sans condition, comment Ron aurait-il pu refuser après le cours de métamorphose qu’il venait de subir ? Il se demandait encore pourquoi il avait accepté de revenir à Poudlard, les même cours que l’an passé, le même ennui, heureusement qu’il pouvait au moins soufflet, de plus avec le coma de Harry et ces conneries qui arriver en masse à cause des Serpentard l’année n’était pas de tout repos comme il en avait rêvé. C’est ainsi que le rouquin profité de ces moments où il était affalé dans un fauteuil à lire un article sur les dernières technologies de vol des balais de l’équipe d’Irlande.
    Inconnu Mr.Weasley ?
    Ronald Oui, Henry ?
    Henry Voilas vos chocogrenouille, vous voulez autre chose?
    Ronald Hum… ça va merci.
Le gamin acquiesça et partit alors que Ron ce remettait à sa lecture plongent sa main dans la boite de chocolat qu’il se mit à engloutir. Il aimé bien ce gamin, il était complétement dévoué à sa cause, et Ron n’avait pas l’habitude d’être l’idole de quelqu’un alors il s’amuser à le voir être un parfait petit soldat. C’était d’ailleurs le cas de plus en plus d’élèves en ce moment, il était soudainement devenu bien plus que Ron le meilleur ami, déjà depuis la guerre il était affiché comme un héros, loin de Harry et Hermione, mais il en était quand même un. Seulement de puis « l’accidant » de Harry, depuis qu’il avait pris cette colère contre les serpents il c’était élevé à un rang qu’il n’avait jamais connue avant, si bien que part fois il en faisait un peu trop ou ce demandé ce qu’il faisait là au juste, lais c’était grisant d’avoir pour une fois autant d’attention et même du pouvoir. Il avait une emprise sur certain Gryffondor qui lui plaisait, mais qu’il n’aimait pas pour autant car il savait ce que tout cela impliquer. Il c’était battue l’an passer pour la paix et cette année, bien que l’échelle soit très différente, il était de nouveau dans une guerre. Comme si jamais tout cela ne pourrait finir…

Tranquillement installer il eut bientôt fini son article passionnant quand une voix timide vin le déranger une nouvelle fois de son magazine.
    Inconnue J’ai fini votre devoire.
Ron leva les yeux sur une jeune fille de troisième année qui lui tendait des parchemin le visage rouge et les yeux baissait. Ron les prit avec un sourire. Il nu pas le temps de lui dire « merci » qu’elle était déjà partit et il rit presque, mais ne perdit pas son temps pour ça, posant le devoir sur la table basse il se remit en position « flemmardise » et reprit sa lecture. Seulement il y avait quelque chose qui le gêna. Jusque-là il n’y avait pas pensé mais cette foi il le sentait belle et bien. Le regard brulant d’Hermione derrière lui. Il finit par ce retourné pour croisé son regard noisette qui annoncé la tempête et il ce redressa sachant que ça aller exploser.
    Ronald Quoi? Tu ne veux plu m’aidé, je trouve donc des gens pour le faire là où je peux.
Enfin il y avait un monde entre « aidé » et exploité, Ron le savait mais il avait de très bonne raison pour profiter de son nouveau statue et puis cela n’avait jamais tué personne…



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Hermione Granger


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Message Re: Un jour comme les autres [pv Mione]   Un jour comme les autres [pv Mione] Icon_minitimeMer 29 Fév - 23:17


Si on lui avait dit, Hermione aurait certainement refusé de le croire. Elle est loin d'être bête, c'est fait connu, et elle savait pertinemment que les discordes entre les anciens partis ne s'effaceraient pas d'un simple coup de baguette magique. C'était comme avoir vaincu Lord Voldemort et vivre pourtant dans son ombre, une ombre qui, comme un voile, flottait au-dessus de Poudlard. Il n'y avait pas un jour où il y avait un souci. Et là, vous vous dites que c'était déjà le cas avant. Trouvez-vous cela normal qu'après tout ce qu'il a été fait, un simple badge sur une robe de sorcier puisse déterminer ce qu'il allait vous arriver ?
Elle soupira, se félicitant d'avoir encore un havre de paix dans son royaume des livres et à quelques endroits. Car même dans les salles de classe, certains règlements de compte à venir planait pendant toute la classe. Classe dispensée par un professeur aveugle, par défaut ou par choix. De toute façon, elle-même à cet instant voyait mal ce qu'elle pouvait faire.

Elle tourna la page de son livre, tentant vainement de se détendre. Le papier agressa le bout de ses doigts. Cela n'aurait pas eu le même effet si elle n'avait pas rongé ses ongles depuis l'incident avec Harry. C'était le coup de trop, ce qui avait tout déclenché... Devait-elle blâmer ceux qui avaient voulu le défendre, lui faire honneur ? Hermione aurait pu y accorder un minimum de crédit si la situation présente n'était pas celle qu'elle était.
Elle tourna une nouvelle fois une page, ayant terminé un chapitre de l'ouvrage. La sorcière marqua une pause en voyant un élément qui n'y avait pas sa place. Elle étouffa un soupir en prenant l'enveloppe dans sa main, la contemplant pendant plusieurs minutes avant de finalement l'ouvrir encore. Pour relire le contenu de ce mot. Pourquoi l'avait-elle gardé ? Peut-être parce qu'elle avait besoin de la preuve de l'existence d'une chose qu'elle n'avait pas vu venir non plus. Les Hunters. Ils avaient bien choisi leur moment pour recruter, cela même dans les murs de Poudlard. Hermione pourrait en parler mais à quoi bon ? Pour l'instant, il y avait assez de bazar dans l'école pour en rajouter encore avec ça. Puis qui croirait à ça ? Qui en aurait quelque chose à faire seulement ? Puis... elle était la seule à l'avoir reçu de tout son entourage évidemment. Mais combien ? Combien de nés-moldus avaient fait face à cette proposition ? Combien avaient accepté ? C'était comme si vaincre Voldemort n'avait servi à rien. Comme si ses idées demeuraient et qu'il vivait ainsi encore. Cette peur des nés-moldus d'être maltraités encore. Cette quête du sang. Non, Hermione Granger n'accorderait aucun crédit à cette lettre : elle n'avait plus peur de souffrir de sa différence.
La Gryffondor ne lutta pas contre ce réflexe de regarder son bras. Sa différence, comme une étiquette sur son bras. Après avoir vécu tout ça, pourquoi avoir peur maintenant ?
D'un coup, elle ressentit le besoin de déchirer cette lettre et de l'envoyer dans la cheminée. Toutefois, une main à chaque bout de celle-ci, prête à la déchirer en deux une première fois, impossible. Peut-être que si elle gardait cette lettre, c'est parce qu'elle voulait savoir pourquoi il était si difficile de l'oublier.

Finalement, elle l'avait glissé de nouveau dans les pages de son livre. Plus tard, la lionne la retrouverait et se devrait passer par la même chose. En parler à Ginny s'imposerait.
Elle leva les yeux sur la salle commune, en ayant assez de son livre de toute évidence. Et sur quoi tombait-elle ? Le nouveau roi proclamé ! Ronald Bilius Weasley, seigneur de ces fauteuils, maître de la procrastination, lord du « fais-moi mes devoirs ».

Elle ne le croyait pas. Harry était dans le coma, la moitié de l'école s'amusait à faire la guerre façon far west, personne ne semblait réellement s'en préoccuper et lui, il profitait de la situation. Hermione avait une impression de déjà-vu. Elle pensait pourtant qu'il s'était soigné depuis l'an passé... Mais non, on en revenait toujours à ça et bientôt, il ne passerait même plus le tableau donnant accès à la salle commune. Ce qui serait un drame pour monsieur, ne pouvant plus poser son royal postérieur sur un fauteuil. Oh et ce serait aussi dramatique pour ses fans !
Elle bouillonnait. Et de la vapeur aurait pu lui sortir par les oreilles quand il fut question de devoirs. Hermione ne le croyait pas ! Les solutions étaient vite trouvées avec lui, elle devait le reconnaitre. Dommage que ce n'était pas toujours les bonnes, avec une telle rapidité, on aurait pu faire des avancées insoupçonnables ! Elle regarda avec un mélange d'agacement et de compassion la troisième année filer. La sorcière ignorait si elle devait être agacée de son comportement ou si c'était le fait qu'un rouquin en profitait. Mais on nageait en plein délire !
Quoi ? Tu ne veux plus m’aider, je trouve donc des gens pour le faire là où je peux. Oh ! Notre grand roi accordait son attention semblerait-il !

    Hermione ; Si je refuse de t'aider Ron, ce n'est pas pour que tu ailles demander à quelqu'un d'autre de te faire ton travail !

Elle inspira, ayant lâché cette phrase comme un serpent crache soudainement un venin. Ayant pleinement conscience que ça ne plairait pas au jeune homme. Mais elle ne cherchait pas à lui faire plaisir, c'était plus fort qu'elle parce qu'eux deux savaient très bien qu'elle avait raison.

    Hermione ; Si c'était juste le fait que tu refuses de travailler mais je ne comprends pas comment dans une situation pareille tu puisses être aussi nonchalant ! As-tu oublié Harry ou ce qu'il se passe ? Ça va recommencer...


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Message Re: Un jour comme les autres [pv Mione]   Un jour comme les autres [pv Mione] Icon_minitimeDim 4 Mar - 17:51



De puis quelque temps tout avait changé, bien que cela fût de puis quelques années déjà que rien n’était à proprement dit : normal. Pourtant on avait l’impression que dans ce monde de magie chaque heures changer de façon a ce que personne ne sache vraiment comment la vie serrait par la suite. Il y avait toujours quelque chose tapis dans le noir. Il fallait voir ce qui était arrivé. Tout le monde avait cru, avait eu l’espoir de voir le monde magique renaître après la chute de Voldemort, et pourtant tout avait l’air de ce dégradé de jour en jour, du moins c’était bien le cas a Poudlard et cela de puis cette « accident » visant Harry Potter. Lui qui était devenu une sorte d’icône, de héros, une vrais légende ce faire attaquer de cette façon dans un couloirs de sa propre école. Comment voulait-on que les Gryffondo,r et même ceux qui soutenait Harry et puis les plus raisonnables, trouve cela normal ? De puis la fin de la guerre une autre, plus douce certes, c’était déclaré et avait pris une certaine ampleur qui avec cette attaque plus que lâche avait explosé en de vrais batailles mesurant la haine dont pouvait ce livré deux maisons rival de puis dés siècles. Dire que jamais encore les serpents et les lions en étaient arriver là, bien que part fois dans l’histoire il y ait eu de forte tension, presque prête à lâcher, c’était aujourd’hui que ces deux camps avaient décidé de franchir la ligne, et il fallait être honnête ce n’était pas les lions qui l’avaient franchi en premier !Pourquoi avoir cette réflexion maintenant ? À ce moment précis ? Eh bien simplement par ce que le rouquin était furieux, furieux contre beaucoup de monde mais a cet instant sa rage se tourné vers une seule et même personne. Et qui d’autre qu’Hermione Granger pour le rendre furieux plus vite qu’un buffle puise le faire ? Encore la réflexion sur le travail passer, il ne pouvait pas nié que ce qu’il faisait faire a ces gamins n’étaient pas injustes mais, il avait des raisons peut être mauvaises aux premiers abords et a première vue mais plutôt bonne au fond et cela n’avait rien à avoir avec le faite qu’il n’avait pas envie de travailler. Loin de là car il savait faire les yeux doux à Hermione et il savait qu’elle avait un point sensible, d’ailleurs cela rester un grand mystère pour lui mais de puis qu’il l’avait découvert il s’en servait quand il sentait qu’elle ne lui céderait pas. C’était un peu son joker comme lui avait soufflet un jours Harry, une histoire de jeu moldu, avec des cartes… Puis elle n’avait pas idée à quel point il se fichait de son travail en ce moment, de plus ce n’était pas lui qui aller être inquiet pour ce genre de chose.

Seulement ce qui mit réellement le rouquin en colère ce fut cette façon de lui parler, si agaçante avec son air supérieur. Il détestait quand elle faisait cela. Le pire encore c’était qu’elle l’attaquer sur le terrain le pus glissant du moment. Elle aurait pu tout choisir mais il avait fallu qu’elle prenne celui là et il se sentit bouillir si vite qu’il était persuadé d’avoir la nuque déjà brûlante.
    Hermione Si c'était juste le fait que tu refuses de travailler mais je ne comprends pas comment dans une situation pareille tu puisses être aussi nonchalant ! As-tu oublié Harry ou ce qu'il se passe ? Ça va recommencer...
Comment pouvait-elle lui dire cela ? Comment arrivait-elle à penser ça ? Du moins s’il croyait bien qu’elle pensait qu’il se foutait du sort de son meilleur ami. À chaque fois qu’il était aller a la mort il avait toujours était là, toujours eu la peur au ventre pour lui et elle osé lui faire comprendre qu’il s’en foutait ? Ce n’était même plus de la colère c’était de la déception. Il avait fait l’effort d’écrire tous les jours à sa mère pour savoir comment aller Harry l’or ce qu’il était a Ste Mangouste, il avait déclaré la guerre aux serpentard et elle lui disait qu’il était « nonchalant », pire ! qu’il avait oublier Harry ! C’était si blessant qu’il ne sus réagir au début que de serré les dents et les poings en la fixant sentant petit a petit son sang devenir chaud et lui monté a la tête. Ce rendait-elle compte ? Il savait qu’elle souffrait aussi, qu’elle était autant perdue que lui mais il ne pouvait admettre qu’elle lui dise cela ! Il reposa ses bonbons et son magazine un peu froisser par les nerfs du jeune homme et il se redressa contrôlant comme il pouvait sa voix car il n’avait pas réellement envie de ce disputé à propos de cela devant leur camarades.
    Ronald Qu’est-ce que tu veux Hermione ? Que je me morfonde ? Que je reste là sans bouger à attendre ? Tu crois que c’est moi ça ? Je pense à Harry tous les jours et je fait ce que je peux pour canaliser nos amis qui serraient tous près à faire de la charpie des Serpentard. Je sais très bien ce qui se passe, je le sais par ce que moi aussi j’ai envie de leur tordre le cou a ces têtes de serpents. Et toi qu’est ce que tu fait hein ? Tu lit, tu travailles, tu fait comme si cela ne pas changer ta vie ! J’ai beau être « nonchalant » je fais ce que je pense être le mieux.
Il fit une pause, le souffle devenu cour de par sa tirade et de son énervement, mais cela ne l’empêcher pas d’avoir encré son regard bleu empreint de colère dans celui de sa meilleure amie.
    Ronald Tu vois ces gamins qui son si serviable ? Eh bien je leur demande de faire cela pour moi car ils sont venu me demander s’ils ne pouvaient pas participer eux aussi, car ils adore Harry et il ne supporte plu la pression des Serpentard. Seulement je ne suis pas assez fous pour que des gamins soit blessés dans cette histoire, alors oui je l’ai est persuadé de faire quelque petite choses pour moi car ils viennent me le demander, ils ne peuvent pas rester inactif et ça je le comprends bien mieux que quand je te voir toi a ne rien faire, a ne rien dire !
Il soupira ne voulant pas non plu lui faire des reproches mais lui montré qu’il ne comprenait pas la position qu’elle avait adoptée. Il ne savait pas du tout sur quel pied elle danser en ce moment, de son côté ou non, c’était si dur de savoir avec elle et il avait plus que personne des difficulté à la comprendre et pourtant par fois il voyait des chose que nul autre ne percevait chez elle. Pour le coup il se calma un peu, du moins il se força car il était fatigué de se battre jour et nuit, de c’être déjà battu et d’aller se battre encore avec elle.
    Ronald Je sais que tu es fatigué Mione, moi aussi. Seulement, tu comprends je ne peux pas rester la à les regardé s’entre tué sans rien faire, car j’ai aussi conscience que si j’était le premier à me venger ce serrait une guerre total et je doit faire quelque chose pour les canalisé. Bien sûr je suis capable de sortir de là et d’aller embrocher un ou deux serpents si je m’écoutais, mais j’ai une petite voix en moi, qui me dit que ce serrait inutile et que cela ne ferait qu’aggravé les choses. Je fait ce que je peux Hermione, mais je ne contrôle pas tout… Qu’on le veuille ou non c’est entrain de recommencer et j’ai beaucoup de mal a ne pas le vouloir cette fois. C’est peu être mal mais je ne supporte plu tout ça et si pour en finir on doit en arriver là alors je suis près a y retourné.
Il était très sérieux, il n’avait pas peur d’écraser ceux qui s’en prenaient encore au née-moldu ou bien a ceux qui ce sont battue pour leur liberté, tout ce qu’il voulait c’était ce protégé, protégé ceux qu’il aimer et sur tout ne plus entendre toute ces conneries sur la magie. Il était tellement désolé pour Hermione, tellement désolé de voir leur monde encore sous l’emprise de ce poison, du venin de tout ces soit disant sang-pur et sorciers légitime, alors même si avant il aurait pu vivre avec, a présent qu’ils c’étaient mit a attaquer comme des fou le rouquin n’était plu pour le pacifisme, non c’était révolu.



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Message Re: Un jour comme les autres [pv Mione]   Un jour comme les autres [pv Mione] Icon_minitimeSam 17 Mar - 22:01


ϟ




Un pas en avant, deux en arrière...


Si elle se rendait progressivement compte du chemin que la conversation prenait déjà, Hermione n'avait pas de suite mesuré ses paroles. Ni l'impact qu'elles allaient à voir. Bien-sûr que la sorcière savait que le rouquin allait s'emporter. Et elle s'était jurée de ne plus lancer des phrases blessantes ou qui frapperaient là où ça allait leur faire mal à tous les deux. Mais ça avait été plus fort qu'elle. Puis, soyons honnêtes, avec la situation, ajoutez à ça la scène qui s'était déroulée devant ses yeux et ses convictions personnelles, vous comprendrez rapidement qu'elle n'en avait à vrai dire aucune envie cette fois. Elle était à cran. Harry lui manquait. Elle s'inquiétait. Pour lui, pour Poudlard, pour ses parents, de ce qu'il se passait.
Pourquoi une telle guerre encore ? Cela la rendait triste mais aussi, ça l'énervait, de voir qu'ils s'étaient battus pour rien. Oh, elle ne pensait pas que du jour au lendemain, tout s'arrangerait comme dans le meilleur des mondes. Mais qu'au moins, ça repartirait dans le bon sens. Seulement, cela ne faisait que diviser davantage les gens.

Diviser les gens. Comme elle l'était. Contrairement à Ron, elle n'avait pas eu l'idée de mener donc ce combat pour défendre les siens. Elle ne voyait pas en quoi cela aiderait Harry. Bien-sûr, se venger, c'était tentant. Mais Voldemort... n'en avait-il pas eu après Harry pour une histoire de vengeance ? De fierté ? Elle voyait en tout ça une sorte de répétition sans fin et il lui arrivait presque de se décourager, à bout de souffle. Sans pour autant que ça arrive. Mais la répétition était en tout cas bel et bien là...
Il n'y avait qu'à les regarder pour ça. Sept ans que ça durait... et bien des années où Hermione savait pertinemment où elle en était avec le jeune homme, autant sur le plan humain, amical que personnel. Rien n'avançait et même qu'il tournait en rond, même après avoir été certains d'avoir mis les choses au clair. C'était fatiguant de voir tout recommencer sans cesse. Voire s'empirer même à chaque tour.
Qu’est-ce que tu veux Hermione ? Que je me morfonde ? Que je reste là sans bouger à attendre ? Tu crois que c’est moi ça ? Je pense à Harry tous les jours et je fait ce que je peux pour canaliser nos amis qui serraient tous près à faire de la charpie des Serpentard. Je sais très bien ce qui se passe, je le sais par ce que moi aussi j’ai envie de leur tordre le cou a ces têtes de serpents. Et toi qu’est ce que tu fait hein ? Tu lit, tu travailles, tu fait comme si cela ne pas changer ta vie ! J’ai beau être « nonchalant » je fais ce que je pense être le mieux. Et voilà, maintenant, c'était sur elle que retombait tous les tords, elle aurait pu le prédire. Tellement qu'elle ne s'en offusqua qu'à moitié, bien qu'elle se sentait blessée par ces mots. Mais c'était prévisible, pourquoi avait-elle seulement ouvert la bouche ? Cette discussion n'allait mener nulle part. Il ne comprendrait pas le point de vue de Hermione, en serait peut-être indigné, autant qu'elle s'attristait de sa vision à lui des choses. Chacun d'entre eux était persuadé d'avoir raison et l'issue de cette conversation n'irait que les éloigner d'une certaine façon. Du moins, c'est ce qu'elle croyait. Tu vois ces gamins qui sont si serviables ? Eh bien je leur demande de faire cela pour moi car ils sont venu me demander s’ils ne pouvaient pas participer eux aussi, car ils adorent Harry et ils ne supportent plus la pression des Serpentard. Seulement je ne suis pas assez fou pour que des gamins soient blessés dans cette histoire, alors oui je les ai persuadé de faire quelques petites choses pour moi car ils viennent me le demander, ils ne peuvent pas rester inactif et ça je le comprends bien mieux que quand je te vois toi à ne rien faire, à ne rien dire ! Elle s'impatientait et ne le regardait même plus, refusant de prendre toute sa colère une énième fois. Tout ce qu'il allait faire, c'était de la mettre en colère. Cela ne lui plaisait pas non plus d'être entre deux feux mais il était inconcevable qu'elle aille à contre-sens de ses idées et plus il prendrait une position aussi brutale, plus sa réserve serait grande. Jusque-là, Hermione avait souvent tempéré ses deux amis, apportant un peu de raison à leurs actes...

C'était bien ce qui la rendait d'autant plus folle, qu'il sache un peu ce qui la retenait et qu'il aille lui faire des reproches. Qu'il se jette aussi facilement mais aussi qu'à un reproche de comportement, il trouve une raison en rapport avec tout ça. Alors même ses devoirs devaient avoir un rapport avec ces guerres entre maisons ?


Hermione Granger ; “

Alors tu ne comprends pas réellement ce qu'il se passe. A t'écouter, on devrait accepter le fait que tout ce qu'on a fait n'aura servit pratiquement à rien. Après un échec pareil, tu ne comptes pas te remettre en question ? L'an prochain Ron, on passera peut-être en 7° année et l'année suivante, on sera partis si une de ces guerres gratuites ne nous épuise pas avant. Et après quoi ? On va perpétuer la tradition hors Poudlard et espérer qu'un autre prenne ta place une fois que tu auras quitté l'école ? Brillant comme plan... Elle souffla un peu... J'aimerais faire quelque-chose figure-toi, mais pas pour avoir le résultat qu'on a aujourd'hui. Pas pour voir un autre de mes amis dans le coma. Pas pour rien.


Elle inspira clairement cette fois, tentant de regagner son calme. Comme à l'accoutumé, elle s'emportait et les émotions faisaient boule de neige en elle, faisant briller ses yeux et serrant son cœur.
Ron la connaissait, elle aurait espéré qu'il cherche à comprendre plutôt que de se mettre sur ses grands chevaux et remette en question la façon d'agir de son amie.


Hermione Granger ; “

Je ne suis pas seulement fatiguée, Ron. Je suis déçue de la tournure des choses. Je n'aime pas la violence, les guerres et l'an passé, j'ai cru que ça en valait la peine. Cette fois, je veux juste voir les choses autrement. Quant au fait que j'étudie sagement... qu'en sais-tu ? Tu passes ton temps à déléguer ton travail aux autres et à planifier tout ce que tes seconds doivent faire que tu es sûrement à cent lieues de savoir ce qu'il se passe ailleurs. Alors je t'interdis de me refaire des reproches...

Elle était sur la défensive encore, et elle détestait cette impression de devoir se justifier face à lui quant à son comportement. Hermione s'occupa à nouveau de ses affaires, retombant sur son livre. Ron ignorait pour ça aussi... Pourtant, à la sorcière, le phénomène semblait si peu discret. Lui dire ? Oui, qu'elle excellente idée, à le voir, il pourrait presque croire que l'idée de se joindre à un groupe potentiellement ennemi intéresserait Hermione. Il en était hors de question à cet instant...
La rouge et or, si peu était-elle encore vue ainsi, inspira encore et lui refit face, à peine plus calmée par cette pause forcée.


Hermione Granger ; “

Je n'ai peut-être pas encore la solution mais je sais que la mienne n'est pas celle que tu as choisie. J'en ai assez de cette sorte de contrainte, de ce regard, comme si je vous trahissais. Qu'est-ce qu'il faut faire ? Avoir 3 élèves de Serpentard aux compteurs pour être un Gryffondor normal ? Elle passa une main sur son visage pour se calmer et serra le livre dans sa main. Ce que je veux dire, c'est que je ne vois pas comment ça aide Harry... Ni comment ça aide qui que ce soit. Et après ça, il y aura encore autre chose. Tu ignores à quel point la dernière guerre a divisé les gens déjà... même nous apparemment... et j'en suis désolée mais il est hors de question que je cautionne ça. Si je le fais, ça fera une personne en moins encore qui croit qu'on mérite mieux que ça. Il y a assez de choses que j'ai laissé tourner en rond éternellement.

Elle n'avait su retenir l'allusion avant de se déplacer un peu, et ajouter « Parler ne servira à rien, on sait malheureusement où ça nous mènera. J'aimerais te parler mais ce soir, tu n'écouteras pas. Alors à moins que tu aies un autre reproche à me faire, je monte... » Elle resta devant les escaliers menant aux dortoirs, le regardant. Si elle le provoquait ? Certainement, comme un petit appel pour qu'il se rende compte qu'elle détestait ça autant que lui, pour qu'il la comprenne, pour qu'il ne participe pas à ce qu'elle voyait comme une chute en enfer.




Dernière édition par Hermione Granger le Dim 18 Mar - 10:30, édité 1 fois
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Message Re: Un jour comme les autres [pv Mione]   Un jour comme les autres [pv Mione] Icon_minitimeDim 18 Mar - 0:38



Il était certain que ce n’était pas ce qu’il avait cherché, ce n’était pas son désir que de se disputer une nouvelle fois avec Hermione, sur un sujet aussi délicat qui plus est. Ce n’était pas non plus lui qui avait voulu que ça se passe ainsi. Que les serpentard s’en prennent à Harry, que les gryffondor ne le supporté pas et qu’il soit propulser au-devant de la scène. Il avoué volontiers que les gryffondor avait commencé, pas méchamment certes, mais les réflexions sur la l’acheter des vert et argent n’avait pas plu et il pouvait le comprendre, mais ce qu’il ne concevait pas c’était la violence avec la quel ils s’en étaient pris à eux. Qui pouvait blâmer un être de vouloir se venger par la violence lors ce qu’en son est pris à lui de la même façon ? C’était humain, totalement humain et plus encore quand on était comme le rouquin et qu’on avait tendance à ce vexer facilement. Oui tout ça n’avait commencé que par une banale histoire d’insulte mal placé et trop de personne têtu on vue rouge, comme lui, il était impossible de les arrêter. Ainsi Ron était persuadé que ce qu’il faisait était juste, il le savait au fond de lui et rien ne pourrait l’en dissuadé, rien ou presque, mais la mule qu’il était n’était pas prêt a entendre raison, sur tout car il n’aimait pas avoir tort. Il fixer alors Hermione durement, étant incapable de la comprendre et ce jour-là, ne faisant pas beaucoup d’effort, c’était un faite.
    Hermione Alors tu ne comprends pas réellement ce qu'il se passe. A t'écouter, on devrait accepter le fait que tout ce qu'on a fait n'aura servit pratiquement à rien. Après un échec pareil, tu ne comptes pas te remettre en question ? L'an prochain Ron, on passera peut-être en 7° année et l'année suivante, on sera partis si une de ces guerres gratuites ne nous épuise pas avant. Et après quoi ? On va perpétuer la tradition hors Poudlard et espérer qu'un autre prenne ta place une fois que tu auras quitté l'école ? Brillant comme plan... J'aimerais faire quelque-chose figure-toi, mais pas pour avoir le résultat qu'on a aujourd'hui. Pas pour voir un autre de mes amis dans le coma. Pas pour rien.
Il n’avait jamais pensé comme ça, non jamais il ne lui était venu à l’esprit de penser a plu loin que cette année. Il fallait dire que Ron n’était pas du genre à faire des plans à long terme et il ne put l’avoué, mais il se sentit bien bête. Hermione avait raison et encore une fois lui avait tort ce qui le rendit plus furieux qu’il ne l’était déjà. Bien sûr qu’il ne voulait pas laisser Poudlard dans cette état quand il serrait partie mais il espéré avoir réglé tout ça bien avant. Il ne savait pas encore comment, mais il le ferait.
    Hermione Je ne suis pas seulement fatiguée, Ron. Je suis déçue de la tournure des choses. Je n'aime pas la violence, les guerres et l'an passé, j'ai cru que ça en valait la peine. Cette fois, je veux juste voir les choses autrement. Quant au fait que j'étudie sagement... qu'en sais-tu ? Tu passes ton temps à déléguer ton travail aux autres et à planifier tout ce que tes seconds doivent faire que tu es sûrement à cent lieues de savoir ce qu'il se passe ailleurs. Alors je t'interdis de me refaire des reproches...
Ron ne put répliquer, il était à la fois bouillant de colère et glacer par la honte. Une sensation dont –il avait l’habitude avec elle, seulement à ce degré là c’était assez rare. Il savait bien ce qu’elle penser de la violence, toute les fois où il avait voulu montré a Malfoy ou à tous ceux qui l’insulté de quoi il était capable elle l’en avait dissuadé, pourtant il savait que tout ça n’était pas si « sans importance » à ses yeux, aucune insulte ne l’était. Seulement voilà, Hermione ne ferait jamais de mal à personne sauf si une autre était en danger. Elle était ainsi, trop bonne et indulgente à son gout.
Il baissa les yeuxquelque seconde perdant la force de soutenir ses deux prunelles chocolat remplit d’un sentiment qui lui faisait mal. Il ne voulait pas qu’elle pleure, qu’elle soit triste, qu’elle soufre. Il était mauvais et ce n’était pas juste, il rechercher toujours la douleur car elle s’en était prise à lui, c’était toujours ainsi, pour se venger du mal qu’elle lui faisait et du mal être qu’elle provoquer chez lui il lui renvoyait l’appareille seulement il ne savait pas s’arrêter et il ne fallait qu’un mot de trop pour qu’il gagne à ce jeu cruel. Il aurait pu s’excuser, c’est vrai, seulement il avait sa fierté le Weasley et elle l’avait piqué à vif. Il finit par relever les yeux pour croiser les sien, mais Merlin ce n’était plu aussi simple.
    Hermione Je n'ai peut-être pas encore la solution mais je sais que la mienne n'est pas celle que tu as choisie. J'en ai assez de cette sorte de contrainte, de ce regard, comme si je vous trahissais. Qu'est-ce qu'il faut faire ? Avoir 3 élèves de Serpentard aux compteurs pour être un Gryffondor normal ?
Il se redressa en secouant la tête trouvant que ce qu’elle disait était injuste. Il ne lui avait jamais demandé de faire quoi que soit, il lui reprocher simplement d’avoir gardé le silence et de l’avoir laisser seul dans cette histoire. Pas un conseille, pas un mot, elle était restée a le regardé et il c’était sentit toujours aussi minable quoi qu’il face. Pourquoi n’arrivait-il jamais à comprendre ce qu’elle penser ? Au moins maintenant il le savait et il n’était pas fier de ce qu’il entendait.
    Hermione Ce que je veux dire, c'est que je ne vois pas comment ça aide Harry... Ni comment ça aide qui que ce soit. Et après ça, il y aura encore autre chose. Tu ignores à quel point la dernière guerre a divisé les gens déjà... même nous apparemment... et j'en suis désolée mais il est hors de question que je cautionne ça. Si je le fais, ça fera une personne en moins encore qui croit qu'on mérite mieux que ça. Il y a assez de choses que j'ai laissé tourner en rond éternellement.
Ron ne comprenait plu vraiment. Il lui paraissait évidant qu’il fallait faire payer au serpentard ce qu’ils avaient fait à Harry ! Le voir dans ce lit, le visage blanc, comme mort l’avait rendu fou. C’était cette image qui l’avait hanté toute les nuits de puis trop longtemps, puis il avait si peur que d’autre de ses cauchemar se réalise. Ginny, Hermione … il avait besoin de ce dire qu’il les protéger, d’une façon ou d’une autre si il arrêter tout il deviendrait impuissant et il ne le supporterait pas.
    Hermione Parler ne servira à rien, on sait malheureusement où ça nous mènera. J'aimerais te parler mais ce soir, tu n'écouteras pas. Alors à moins que tu aies un autre reproche à me faire, je monte...
Elle c’était levait et diriger vers les escaliers de son dortoir. Non elle ne pourrait pas fuir, il ne voulait pas ça. Il ne voulait pas qu’une des seul fois où ils s’adresser la parole ça finisse ainsi. Il était contrarier certes, mais il ne pouvait pas encore la mettre dans un état pareille et faire comme si tout aller bien après alors que c’était faut. Elle avait raison, tout ça les séparait et il en avait peur. Avec Harry dans le coma ils étaient sensé ce rapprocher non ? Etre plus fort ensemble. Au lieu de cela il avait pris un chemin qu’elle n’admettait pas et maintenant il la voyait s’éloigner et lui échapper, déjà qu’elle était toujours trop loin pour lui cette fois s’en était trop. Ron ce mit sur ses deux jambes et vin ce mettre face a elle avant qu’elle ne fuit, a une vitesse non calculer.
    Ronald Hermione …
Il n’était pas totalement calme mais il était abattu. Elle avait beau lui dire qu’il était insensible il supporté de moins en moins de la voir dans cette état qui plus est quand il était l’auteur de cette douleur qu’il lisait au fond de son regard. Son plus gros problème face à elle à cet instant était qu’il ne savait pas quoi lui dire. Après tout ça il était un peu retourné, à la fois en colère et blesser, non pas dans son égo mais par ce qu’il sentait le malaise d’Hermione et il se sentait idiot de ne pas l’avoir vue avant.
    Ronald Je… J'voulais pas te blesser, je n’ai aucune excuse si ce n’est la pression que je ressens. J’ai choisi un chemin, qui n’est peut-être pas le meilleur, mais je pense avoir bien fait. Tu as raison ça ne nous mènera nulle part, mais si ce n’était pas moi ça aurait pu être n’importe qui et j’aurais bien tué Cormac si il était venu me demandé de me battre pour sa cause. » Il eut un petit sourire, voilà qu’il disait des bêtises mais il n’était même pas sûr que ça l’amuse. « Ce que je veux dire c’est qu’au moins ils ne sont pas livré a eu même, j’essaye de les contenir et ce n’est pas facile. A tu conter le nombre d’attaque des gryffondor et celle des serpentard ? C’est peut être me vanté de dire ça, mais si je n’étais pas là ce serrait l’anarchie et l’infirmerie serrait trois fois plus remplit.
Est-ce qu’il justifier ses actes ? Si c’était le cas c’était bien par ce qu’il se sentait coupable, mais il fallait le voir, affronter Hermione c’était comme affronter le regard d’un juge accusateur et le condamnant aux travaux forcer à vie pour avoir choisis la violence au pacifisme. Il regarda un peu autour de lui. Il n’avait pas envie de parler avec des oreilles par tout, il n’était pas du genre discret, mais si on l’entendait on aurait pu ce méprendre, puis c’était entre lui et Hermione et personne d’autre. Préfèrent fuir la salle commune et surtout ne pas voir la lionne lui échapper, il lui attrapa le poignet et l’entraina dans les escaliers menant au dortoir des garçons. Arriver à sa porte il l’ouvrit et trouva le seul garçon qui était là, Neville. Quand il l’ai vue il fut plus que surprit, mais Ron le rappela a l’ordre lui demandant assez brutalement si il pouvait quitter la pièce. Ce n’était pas vraiment une question, le brun le comprit et ce plia a la demande du roux. Une fois la porte fermer derrière Neville, Ron fini par lâcher la main de son amie un peu rouge malgré lui, mais il ne ce démonta pas, ce tournant vers elle très sérieux.
    Ronald Ecoute Hermione, je ne veux pas que ça recommence. Depuis qu’Harry est à Ste Mangouste on ne se parle presque plu que pour ce disputé. On aurait dû ce soutenir et au lieu de ça on s’éloigne. Je ne veux pas ça, tout mais pas ça. J’admets n’avoir peut être pas fait les bon choix et crois-moi jamais je n’ai voulu te reprocher les tiens, c’est juste que… Je me sens tellement seul face à tout ça.
Il fallait qu’il l’avoue, il fallait que sa sorte et tant pis si c’était difficile, il fallait qu’elle le sache, elle plus que personne par ce que d’habitude ils étaient trois que maintenant ils étaient deux mais que malheureusement c’était comme si sans Harry ils étaient incapable de rester l’un avec l’autre. Pourtant il n’avait jamais eu aussi peur pour une personne aujourd’hui que pour elle.
    Ronald Je suis terrifié à l’idée qu’il t’arrive quelque chose. Je sais que c’est injuste mais dans cette histoire tu es… en première ligne. Tu sais comme moi que derrière ce pauvre conflit de cour d’école ce cache bien plus, un problème qui n’est toujours pas réglé. J’ai peur, j’ai peur qu’il t’arrive quelque chose de mauvais. Si je pouvais je t’enfermerais dans une pièce pour te garder saine et sauve, mais comme je te connais c’est moi qui finirais enfermer pour me punir, rien que pour en avoir eu l’idée.
Ron rit un peu nerveusement en ce grattant l’arrière du crâne. Il se détourna et se mit à marcher dans le bordel qui était censé être une chambre, ou qui était surement devenu la définition même d’une chambre de garçon de 17 ans. Il se retourna défaisant un peu sa cravate qui lui donner chaud. Il se sentait tellement coupable. Il n’était pas désoler pour la position qu’il avait pris dans ce combat, mais il n’avait pas réalisé le mal d’Hermione, il était allé trop loin et le savait pourtant elle devait savoir que ses motivations n’était pas toute lier a la vengeance, mais aussi à la peur, une peur qu’il avait depuis trop longtemps, qu’il avait espère oublier et qui soudain était revenu.
    Ronald J’ai déjà vécu ce qui me semblais le pire. J’ai vue des gens mourir. Des personnes que j’aimer disparaitre. Et peut-être que c’est égoïste, mais la pire chose que j’ai pu vivre c’est quand Lestrange a osé te touché. J’avais si peur, j’ai eu tellement mal. Je sais que au milieu de ses abruties qui ce prennent pour des malins ils y en a qui son capable du pire et maintenant tu es en tête de liste. Tu es la meilleure amie de celui qui a tué leur maitre ! Tu es une née-moldu, jamais ils ne pourront accepter ça ! Et moi non plus ! Si je dois être violant pour leur faire peur et leur montré que moi aussi je suis près a tout pour défendre ceux que j’aime alors tant pis. Comprend moi Hermione, jamais plu je ne laisserais qui que ce soit t’approcher et qu’importe ce que ça peut me couter.
Il était de nouveau furieux, les poings serrés et blanc. Le simple souvenir de ce soir-là le mettait dans un état avancé de rage. Si il avait pu il aurait tué cette femme ce jour-là et il était presque heureux que sa mère l’ai raté le jour de la bataille final car il aurait peut être lui-même le plaisir de lui dire adieu. La douleur incitée à la haine et chez les Weasley la rancune était tenace, on ne pouvait le dire autrement. Lors ce qu’on toucher à l’u des sien il était impossible d’effacer la trace.


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Message Re: Un jour comme les autres [pv Mione]   Un jour comme les autres [pv Mione] Icon_minitimeDim 18 Mar - 18:46


Hermione savait faire preuve d'une grande empathie et sympathie. Elle était largement assez intelligente pour comprendre n'importe quelle situation et son bon sens l'aidait à être un peu plus impartiale tout en défendant ses idées. Mais dès qu'il était question de Ron, elle se retrouvait face à un mur opaque qui l'empêchait de voir ce qu'il se passait derrière de temps à autres. Il la sortait constamment - ou plutôt bien trop souvent, hors de ses gonds.
Ce qu'elle voyait, c'était qu'il était toujours aussi impulsif et que rien avait changé depuis la guerre. Si elle croyait vraiment ça ? Non, mais il fallait bien avouer qu'elle ne prenait plus le temps de se poser la question, la déception au-dessus de tout ça. Ou plutôt si, elle y réfléchissait trop et finissait avec les nerfs en pelote sans même en avoir conscience. Si Hermione regardait tellement ce qu'il se passait autour, l'exaspération et une certaine colère l'empêchait de regarder Ron au milieu de tout ça. Elle était souvent persuadée qu'une partie de tout ça lui plaisait un peu, et il fallait bien que les effets des Horcruxes sur lui l'an passé y était pour beaucoup sur son jugement.

Cet éloignement entre elle et Harry, Ron et Harry mais surtout Ron et elle... Hermione en prenait conscience chaque jour mais à chaque fois qu'ils s'accordaient un mot ou un regard, une nouvelle guerre semblait prendre place. Entre eux deux. Une guerre qui avait commencé bien avant sans qu'elle soit méchante certes, mais à chaque éloignement elle prenait des tournures dramatiques. Alors non, pas ce soir. Hermione aurait voulu qu'il écoute, qu'il soit moins accusateur. Elle aurait voulu le comprendre et moins s'en vouloir à elle-même de faire valoir ses principes plutôt que de se ranger aux côtés de ses amis, de sa maison.
Son regard fut aussi perçant qu'interrogateur quand le rouquin lui barra le chemin. Elle n'essaya même de le contourner, elle était loin de faire le poids face au grand bonhomme. Quand la rouge et or recroisa son regard, elle réalisa à quel point elle refusait en fait qu'il la voit ainsi. Tout était si vulnérable à cet instant qu'elle-même se sentait faible, elle n'aimait pas ça... « Je… J'voulais pas te blesser, je n’ai aucune excuse si ce n’est la pression que je ressens. J’ai choisi un chemin, qui n’est peut-être pas le meilleur, mais je pense avoir bien fait. Tu as raison ça ne nous mènera nulle part, mais si ce n’était pas moi ça aurait pu être n’importe qui et j’aurais bien tué Cormac si il était venu me demandé de me battre pour sa cause. » Elle se pinça les lèvres, accordant un très petit sourire, un peu las. Elle aurait bien aimé rire mais la discussion qu'ils avaient ne prêtait pas à une franche rigolade. Cela dit, oui, elle aurait certainement rêvé de tordre le cou de Cormac elle-même s'il avait été à la place de Ron. Et quelqu'un aurait bien fini par essayer à son humble avis. « Ce que je veux dire c’est qu’au moins ils ne sont pas livrés à eux-mêmes, j’essaye de les contenir et ce n’est pas facile. As-tu compté le nombre d’attaques des gryffondor et celle des serpentard ? C’est peut-être me vanter de dire ça, mais si je n’étais pas là ce serrait l’anarchie et l’infirmerie serrait trois fois plus remplie. » Hermione lui accordait ça sans la moindre hésitation. Seulement allez lui dire de fermer les yeux sur les retours de bâtons de chacun, aucun des camps ne faisait réellement que se défendre mais les deux le prétendaient bien volontiers. Si elle demandait des nouvelles à Eleanor, l'unique fille des Grangers était à peu près sûre d'entendre la même histoire...

Avec un soupir, elle se laissa tirer en haut des escaliers, suivant Ron sûrement dans les dortoirs. Après tout, elle se lamentait de ne pouvoir lui parler et qu'il ne pouvait pas l'écouter, si elle se défilait maintenant, la sorcière aurait fait preuve de la plus grande mauvaise foi possible. Malgré tout ce qu'elle avait dit, elle avait envie oui d'essayer encore de réparer ce qui se brisait sans cesse.
Elle accorda à peine un regard à Neville, si ce n'est un faisant comprendre que quelque-chose d'important était en train de se discuter... Ses bras se croisèrent alors que leur ami quittait les lieux grâce à la grande délicatesse du Weasley à se faire comprendre. Pas de doute, s'il parlait ainsi à ses seconds, il était parfait pour le rôle qu'il tenait... encore une réflexion qui l'enfonça davantage dans son sentiment partagé : qu'il est autant sa place dans quelque-chose dont elle ne se voyait pas faire partie. Elle respectait ce choix oui mais s'y opposer parfois... c'était si radical et brutal pour deux personnes s'étant battu du même côté durant toute leur petite vie.
La jeune femme était encore un peu perdue dans ses pensées quand Ron reprit la parole. « Écoute Hermione, je ne veux pas que ça recommence. Depuis qu’Harry est à Ste Mangouste on ne se parle presque plus que pour se disputer. On aurait dû se soutenir et au lieu de ça on s’éloigne. Je ne veux pas ça, tout mais pas ça. J’admets n’avoir peut-être pas fait les bons choix et crois-moi jamais je n’ai voulu te reprocher les tiens, c’est juste que… Je me sens tellement seul face à tout ça. » Son regard c'était instantanément adouci à chaque mot qu'il prononça. C'est à peine si elle croyait qu'il lui dise vraiment ça, lui qui s'emportait toujours pour aller ruminer dans son coin. C'est elle qui sous-estimait ses efforts... Mais elle se sentit plutôt soulager de ne pas être la seule à s'en rendre compte et que le sujet soit enfin abordé sans qu'ils en viennent tous les deux à être rouges de rage. Pour une fois, elle ne devrait pas chercher à savoir ce qu'il se passait dans sa tête. Et il avait raison, sur toute la ligne. Au fond, ils avaient toujours eu besoin d'Harry pour être réunis, pour composer et là encore ça se voyait. C'est tout juste s'il n'était pas un prétexte parfois...
Pourtant, ça aurait dû marcher, ils avaient déjà dû se débrouiller seuls... mais se dévoiler, ils ne le faisaient qu'à Harry. « Je suis terrifié à l’idée qu’il t’arrive quelque chose. Je sais que c’est injuste mais dans cette histoire tu es… en première ligne. » Il fallait bien admettre qu'elle ne l'avait pas vu venir celle-ci si bien que ses yeux dans la vague remontèrent à ceux du Weasley, toujours aussi bleus mais comme si un cyclone y prenait place. « Tu sais comme moi que derrière ce pauvre conflit de cour d’école se cache bien plus, un problème qui n’est toujours pas réglé. J’ai peur, j’ai peur qu’il t’arrive quelque chose de mauvais. Si je pouvais je t’enfermerais dans une pièce pour te garder saine et sauve, mais comme je te connais c’est moi qui finirais enfermé pour me punir, rien que pour en avoir eu l’idée. » Elle eut la sensation que sa tête se vidait de son sang, d'être dans un ascenseur qui chutait d'un coup de plusieurs étages. Cela faisait des jours qu'elle pensait aux blessés, qu'elle se faisait bénévole fortuite pour aider l'infirmière, qu'elle pensait aux Hunters aussi et à ses amis pris entre deux pôles comme elle. Hermione n'avait pas pensé à ce que son cas représentait pour qui que ce soit. Et elle était à cent lieues de s'imaginer que lui y pensait. Dans d'autres moments, elle aurait été heureuse mais elle s'inquiétait juste davantage. Les pièces s'emboitaient et les pensées du sorcier se dessinaient plus facilement à ses yeux.

« J’ai déjà vécu ce qui me semblait le pire. J’ai vu des gens mourir. Des personnes que j’aimais disparaitre. Et peut-être que c’est égoïste, mais la pire chose que j’ai pu vivre c’est quand Lestrange a osé te toucher. J’avais si peur, j’ai eu tellement mal. Je sais que au milieu de ses abrutis qui se prennent pour des malins il y en a qui son capable du pire et maintenant tu es en tête de liste. Tu es la meilleure amie de celui qui a tué leur maitre ! Tu es une née-moldu, jamais ils ne pourront accepter ça ! Et moi non plus ! Si je dois être violent pour leur faire peur et leur montrer que moi aussi je suis prêt à tout pour défendre ceux que j’aime alors tant pis. Comprend-moi Hermione, jamais plus je ne laisserai qui que ce soit t’approcher et qu’importe ce que ça peut me couter. » Elle se pinça les lèvres. Elle ne s'attendait pas à ça. Tout mais pas ça. Elle-même, ça ne lui avait peut-être qu'effleuré seulement l'esprit.
Sans prévenir et jetant son livre sur le lit, Hermione se jeta dans ses bras pour le serrer contre lui. Elle ressentait toute sa colère et son inquiétude depuis la première fois depuis des jours. Cela faisait un certain moment qu'il n'avait plus rien partagé et que ça tombe d'un coup...


Hermione Granger ; “

Tu aurais dû me dire. Ce ne fut qu'un murmure mais il était impossible que dans leur position il ne l'ait entendue... Je ne savais pas. Si j'avais seulement vu ça... Tout ce que j'ai vu ces derniers jours c'est un garçon constamment sur les nerfs, des rouge et or ne faisant pas honneur aux valeurs qu'on avait défendues, mais aussi quelqu'un qui ne fait jamais ses devoirs lui-même...

Elle rit difficilement avant de se décaler et le regarder un instant, un sourire pincé flottant sur ses lèvres. Hermione se détacha finalement de lui et déglutit. Elle ne dit rien pendant un instant, plantée devant lui, à le regarder lui ou s'attarder sur le livre posé sur son lit. Il ne fallait plus qu'ils se cachent quoi que ce soit. Ils avaient déjà tant de mal à se comprendre. Lui aussi devait savoir à quoi elle était exposée comme réalité. Peut-être que finalement, il devait l'entendre...


Hermione Granger ; “

Peu importe les choix qu'on fera, que Harry soit là ou pas, il faut qu'on se dise tout maintenant. Je ne veux pas passer à côté de tes souffrances, je veux être là même si on agit différemment. Outre me promettre de ne pas m'enfermer ou laisser McLaggen prendre les commandes... elle lui sourit avant de pousuivre plus sérieusement Il faut qu'on se promette ça... D'accord ? Ses yeux marrons s'étaient ancré dans ceux de Ron encore une fois avant qu'elle n'aille prendre son livre. Cela fait quelques jours que je garde ça pour moi. Cela fait aussi des jours que je me dis de la brûler sans y parvenir. Mais maintenant, je crois que j'avais juste besoin d'en parler à quelqu'un qui pourrait comprendre ce que ça impliquerait. Je me sens coupable de ne t'en faire part que maintenant en fait... Mais promets-moi de me laisser aller jusqu'au bout.

Encore une fois, ses yeux allèrent chercher une réponse qu'elle ne laisserait pas être orale. C'était cette fois plus une demande.
Sa tête tomba sur ses mains qui ouvraient son livre. Elle n'eut aucun mal à trouver le mot qui lui avait été adressé. Elle grimaça en le voyant, le prenant de cette main. Cette main rattachée à son bras marqué par cet insulte qu'elle étendit bien trop de fois. Marque qui justifiait ce mot en grande partie. Hermione comprenait et abhorrait en même temps le contenu de cette note... Si certains sorciers se disaient clairement contre les nés-moldus, ces derniers pouvaient se vanter d'avoir un peu de diplomatie. Car la réciproque n'a jamais été concrètement réelle. Et voilà que c'était fait.
Hermione tendit la lettre à Ron.


Hermione Granger ; “

On a un autre problème. Comme je te l'ai dit, je l'ai reçue il y a quelques jours. Je n'ai jamais penser les rejoindre, je te l'assure. Tu te souviens de cet article au début de l'année sur les Hunters ? Avec ce qu'il se passe ici, on a tous tendance à les oublier et visiblement, ils en profitent pour recruter. Si tu t'inquiètes pour moi Ron, imagine ce que je peux penser de ça... Je suis sûre de ne pas être la première à en recevoir, probablement d'autres nés-moldus ont dû en recevoir, ou pire, s'y rallier. Eux, ce n'est pas à moi qu'ils vont s'en prendre. Elle marqua une pause. J'ignore si c'est sérieux, je ne veux pas prendre ça à la légère. Mais imagine, si on doit se battre contre tous ces gens, cela va devenir n'importe quoi... et le pire c'est que je suis à un rien de les comprendre eux, Ron.

Elle se pinça encore les lèvres en fixant le sol. Puis elle se déplaça devant lui, de long et en large, faisant les cent pas en se triturant les mains. Elle essayait de mettre en ordre ses idées tant bien que mal, ne le regardant plus vraiment, les yeux dans le lointain déjà à nouveau.


Hermione Granger ; “

Je sais que Harry était comme l'image de notre combat et que cette attaque a tout fragilisé. Cela apparaitrait presque comme une provocation, oui. Alors il m'apparait normal que quelqu'un prenne cette figure et il n'y aurait pas eu mieux que toi pour ça selon moi... Tant que comme j'ai une réserve, tu m'en agaces un peu. Elle tentait de plaisanter un peu sans perdre ce qu'elle voulait dire. Je ne sais pas où donner de la tête Ron. Sur tous les plans, je suis inquiète pour Harry, en colère, stressée, déçue, agacée, inquiète encore pour toi aussi, je me demande où est ma place... J'avais l'espoir que cette année, on puisse un peu se reposer tu comprends ? Et c'est juste pire encore. Alors tant qu'on est là à se parler... je voulais que tu saches tout mais tu remarqueras que ça ne nous avance pas plus. Et votre dortoir est un vrai bazar...

Sa voix se brisa dans une plainte surréaliste - pour la situation et en comparaison avec le reste de sa tirade - alors qu'elle voulait s'asseoir.


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Message Re: Un jour comme les autres [pv Mione]   Un jour comme les autres [pv Mione] Icon_minitimeLun 19 Mar - 9:38



Il n’y avait rien de plus dure pour Ronald Weasley que de dire ce qu’il avait sur le cœur, qui plus est à sa meilleure amie. Seulement il y avait des situations comme celle-ci qui ne pouvait se laisser en état. Peut-être avait-il murie plus que lui-même n’avait pu s’en rendre compte, ou peut-être simplement que tout ce temps passer à ce déchiré lui avait fait comprendre qu’il devait faire quelque chose. Avait-il bien fait ? Il se sentait si impuissant et idiot face à elle que si elle savait elle lui rirait au nez. Pourtant ce ne fut pas le cas. C’était même tout à fait surprenant, lors ce qu’il sentit cette pression sur sa poitrine, il resta les bras ballant un peu perdu. La dernière fois qu’il l’avait pris dans ses bras remonté à la bataille, là où tout aurait dû finir et où, pour finir, tout commença. Il sentait son souffle chaud à travers son pull, son parfum, la douceur de ses cheveux qui caresser son menton, mais il fut incapable de fermer ses bras. Il savait que si il la serré il ne pourrait plus jamais la lâcher. C’était surement son plus gros souci, il avait peur qu’elle n’apprécie pas de se faire étouffer par un nigaud pareille.
    Hermione Tu aurais dû me dire.
Vraiment ? Ron était de plus en plus perdu dans cette histoire. Il n’avait pas crue qu’elle le comprenne aussi bien, ou qu’elle puise être touché par son mal. C’était pourtant vrais que ça la toucher aussi, enfaite ça la toucher elle et personne d’autre sauf lui, il était là comme un con sans savoir ce qu’il faisait il le faisait, pour elle.
    Hermione Je ne savais pas. Si j'avais seulement vu ça... Tout ce que j'ai vu ces derniers jours c'est un garçon constamment sur les nerfs, des rouge et or ne faisant pas honneur aux valeurs qu'on avait défendues, mais aussi quelqu'un qui ne fait jamais ses devoirs lui-même...
Il aurait pu sourire, peut être si il en avait eu le cœur. Seulement voilà il avait la sensation de ne plut suivre ce qui ce passer. Il était encore tout retourné par ses aveux, par la douleur qu’il avait lue dans les yeux noisette de son amie, mais il se rendait compte qu’il avait bien fait d’en venir là. Il n’y avait pas pensé et au final c’était une bonne chose, elle l’avait compris. Il était là, pour elle, quoi qu’il face, même quand il était à faire son devoir de « chef ». Elle s’éloigna et il ne sut si il se sentait mieux ou non, mais il posa ses yeux sur elle sachant qu’elle était en pleine réflexion. Il la connaissait au fond.
    Hermione Peu importe les choix qu'on fera, que Harry soit là ou pas, il faut qu'on se dise tout maintenant. Je ne veux pas passer à côté de tes souffrances, je veux être là même si on agit différemment. Outre me promettre de ne pas m'enfermer ou laisser McLaggen prendre les commandes... Il faut qu'on se promette ça... D'accord ?
Il ne riait pas, par ce qu’il avait peur de ce qui aller se passer. Ron n’était pas sûr de lui d’ordinaire et là de moins en moins. En réalité ce n’était pas de la peur à proprement parler mais de la crainte et de l’appréhension, serrait-il à la hauteur ? Pouvait-il vraiment être toujours honnête avec elle ? Il n’osa trop y penser et se contenta d’acquiescer doucement de la tête. Elle avait l’air de tellement y vouloir et il n’était pas en état de lui refuser quoi que ce soit à ce moment-là. Elle avait un livre entre les mains et pendant une seconde il se demanda si elle aller le frapper avec, mais au lieu de cela elle le fixait.
    Hermione Cela fait quelques jours que je garde ça pour moi. Cela fait aussi des jours que je me dis de la brûler sans y parvenir. Mais maintenant, je crois que j'avais juste besoin d'en parler à quelqu'un qui pourrait comprendre ce que ça impliquerait. Je me sens coupable de ne t'en faire part que maintenant en fait... Mais promets-moi de me laisser aller jusqu'au bout.
Cette fois il était complétement larguer, elle le laisser ce noyer dans les questions et prit par la curiosité il ne put que lui montré qu’il le ferait, pour preuve il n’osa ouvrir la bouche. Ron ne put faire semblant de ne pas le voir. Il y eu un moment de malaise lors ce qu’elle prit ce qu’elle voulait dans son livre. Le rouquin ne bougea pas même face a cela, il la regarda simplement ce redresser et lui tendre cette chose mystérieuse qu’elle lui avait caché. Il prit le parchemin et le déplia avec toute la délicatesse dont il était capable perturbé par tout ce mystère. Il se mit à lire rapidement.
    Hermione On a un autre problème. Comme je te l'ai dit, je l'ai reçue il y a quelques jours. Je n'ai jamais penser les rejoindre, je te l'assure. Tu te souviens de cet article au début de l'année sur les Hunters ? Avec ce qu'il se passe ici, on a tous tendance à les oublier et visiblement, ils en profitent pour recruter. Si tu t'inquiètes pour moi Ron, imagine ce que je peux penser de ça... Je suis sûre de ne pas être la première à en recevoir, probablement d'autres nés-moldus ont dû en recevoir, ou pire, s'y rallier. Eux, ce n'est pas à moi qu'ils vont s'en prendre. J'ignore si c'est sérieux, je ne veux pas prendre ça à la légère. Mais imagine, si on doit se battre contre tous ces gens, cela va devenir n'importe quoi... et le pire c'est que je suis à un rien de les comprendre eux, Ron.
Il l’écouter un peu à moitié, sonnet. Si il se souvenait de ces fous ? Oui, aussi fou que tous ceux qui prennent partie radicalement pour ce genre de chose. Ça avait tendance à le rendre fou, y allait-il avoir aussi un groupe de personne qui aller défendre les sang-mêler ? Après c’être battue contre ceux qui voulait un sang-plu pur que celui du premier sorcier, il fallait ce battre contre ceux qui n’en voulait pas ? C’était absurde et il était en colère rien qu’en pensant qu’on soit venu inviter Hermione a rentré dans une histoire pareille. Elle avait les mots justes, tout ça c’était n’importe quoi. La colère, il avait tendance à être en colère tout le temps à ce moment, mais ça c’était tellement une connerie à ses yeux qu’il ne pouvait pas s’en empêcher, jusqu’à ce qu’il l’entende. Bien sûr qu’elle les comprenait, par ce qu’à son plus grand regret elle avait vécu mieux que personne ce regard, ces mots brutaux et blessant jeter, sans réel raison à son gout. Simplement par ce qu’elle n’était pas née dans le même monde qu’eux ? Et pourtant elle en faisait partit, comme tous les autres.
    Ronald Hermione …
    Hermione Je sais que Harry était comme l'image de notre combat et que cette attaque a tout fragilisé. Cela apparaitrait presque comme une provocation, oui. Alors il m'apparait normal que quelqu'un prenne cette figure et il n'y aurait pas eu mieux que toi pour ça selon moi... Tant que comme j'ai une réserve, tu m'en agaces un peu. Je ne sais pas où donner de la tête Ron. Sur tous les plans, je suis inquiète pour Harry, en colère, stressée, déçue, agacée, inquiète encore pour toi aussi, je me demande où est ma place... J'avais l'espoir que cette année, on puisse un peu se reposer tu comprends ? Et c'est juste pire encore. Alors tant qu'on est là à se parler... je voulais que tu saches tout mais tu remarqueras que ça ne nous avance pas plus. Et votre dortoir est un vrai bazar...
Il sur sauta un peu à sa dernière réplique en regardant autour de lui. C’était vrais, mais ça avait presque toujours était comme ça depuis que les elfes de maisons avaient décidé de ne plus venir faire le ménage et on ne se demandé pas pourquoi. Seulement le grand rouquin n’était pas d’humeur à ranger quoi que ce soit maintenant. Il reposa le parchemin qu’il avait dans les mains et posa un triste regard sur Hermione. Il s’en voulait, par ce que dans ce monde il avait était le tout premier a la rejeté et ce rejet n’avais jamais cessé. Il avait honte. Ne savait pas comment exprimer ce mal être. Il se contenta de s’approcher de son lit et dégager tout ce qui était dessus pour les mettre par terre, vue qu’elle n’osé pas le faire. Lui ne s’assit pas, il avait besoin de marché.
    Ronald Je ne te comprends pas. » il fallait que sa sorte « Je sais bien sur ce que tu as vécu, les histoires qu’on connait sur les née-moldu, maintenant ça, mais là je suis en colère. En colère contre ces gens qui ne vont faire qu’aggraver la situation et contre toi aussi. Enfin Hermione comment tu peux me dire que tu te demandes où es ta place ?! Sans Harry on a du mal a fonctionné, par ce qu’on avait tendance à le suivre sans réfléchir car c’était lui qui a toujours eux les cartes en mains, aujourd’hui nous somme deux. Ta place est là, dans notre équipe, par ce que c’est comme ça même avec Harry sur la touche on reste une équipe non ? Je …
Il eut un soupire, il ne devait pas s’énerver, il avait trop tendance à être à bout de nerfs en ce moment, il était toujours appeler pour si ou ça, devait régler les problèmes de chacun, mais pour Hermione il devait faire un effort et ce contenir, sur tout que c’était aussi son problème. Il se stoppa devant elle, posant un regard qu’il voulait compatissant et désoler pour avoir pris la grosse voix sans réel raison.
    Ronald Tu sais, si tu avais eu envie d’entré dans leur rang je ne tant aurait jamais voulu. Seulement crée ce genre d’organisation c’est prouvé aux mangemorts et a tous ceux qui croyait en Voldemort qu’il avait raison et ça je ne peux pas le supporté. Tu es la plus extraordinaire des sorcières, je sais que ça n’a pas le même charme que quand c’était Sirius qui le disait, mais c’était vrais. J’ai toujours crue que tu te ficher des autres, j’avais l’impression que les insultes te traverser pour venir me toucher moi. J’avais peut être tord n’est-ce pas ?
Il laisser glisser ses yeux jusqu’à son bras, là où il savait pertinemment ce qui avait était graver dans sa chaire. Un frisson, de rage et de dégout le parcourut. Il ne pouvait s’empêcher de revoir cette scéen, cette femme, les cris d’Hermione… Il y posa sa main, sans vraiment plu ce rendre compte de ce qu’il faisait et de là où il était.
    Ronald Tu veux un bisou magique ? Il sentit soudain le malaise arrivé et il rougie. C’est ce que dise les moldus non ?
Il sourit timidement et la lâcha ce trouvant bien con à ce moment. Non mais qu’est ce qui lui avait pris ? Un bisou magique ! Il fallait vraiment être un abruti pour sortir ça maintenant. Ce passant une main dans sa crinière orange, cette fois belle et bien mal-à-lèse il se posa sur son lit, puis fixa le plancher.
    Ronald Ce que je voulais dire, avant que mon plus grand défaut me rattrape, c’est que. Moi ce que je veux que tu sache, c’est que quoi que je face, quoi que je dise j’aurais toujours besoin de toi. Que je fasse le malin devant les gryffondor ou que je me retrouve à l’infirmerie et j’avoue que c’est par égoïsme que je veux te protéger. J’ai besoin de tes conseille Hermione, même si je suis de mauvaise foi et que je n’aime pas quand tu as raison, je suis perdu quand tu n’es pas là et ces dernières semaines j’étais perdu. Je ne t’avais plu avec moi et tu sais que je fais n’importe quoi quand il y a personne pour me surveiller. Rien que pour cette histoire d’Hunter, je fais quoi moi maintenant ? Je suis sang-pur. Tu crois qu’un né-moldu serra près à me parler de ça ? Bien que je sois Ron Weasley, eu, ça leur est égal.
C’était un faite et il se retrouver dans une situation où il était totalement impuissant. Si il appeler à ce qu’on lui parle de ça, ce n’était pas les élèves qui aller venir, mais il aurait des problèmes il en était sûr, alors voilà encore une chose pour la quel il était impuissant, qui plus est sans elle. Il reposa son regard sur elle. Elle avait dit les comprendre, c’était surprenant, non pas par ce qu’elle n’avait pas souffert, Merlin il savait à quel point, mais par ce que ces gens était violent et ne lui avait-elle pas reproché d’être violent lui aussi ?
    Ronald On ne peut pas laisser un truc ce faire Mione, moi mon combat contre les serpentard c’est à une petit échelle, bien qu’au fond ce que je veux c’est simplement protéger les miens. Ce qu’ils veulent faire c’est insisté à la haine et là nous risquons une nouvelle guerre et encore me battre contre des gens qui prônent le sang-pur d’accord, mais contre des gens qui prônent le sang-moldu c’est du délire ! J’ai honte d’être sang-pur, mais si un né-moldu m’attaque je fais quoi ? Si je me défends on va dire que je suis du coter des méchant ? Toi tu t’es battue à ta manière, tu leur as prouvé que tu étais meilleurs qu’eux, et si tu portes cette marque aujourd’hui ce n’est pas pour prouver qu’ils avaient raison, amis au contraire c’est la preuve que toi tu es plus forte, par ce qu’eux ont cédé à la violence et toi tu es resté qui tu es malgré tout. Pourquoi eux ne comprennent pas qu’ils non rien a prouvé ? Je ne comprends pas Hermione. Moi j’ai eu du mal à vivre avec ces cheveux roux et mes tâche de rousseur et pourtant je n’ai pas créé de ligue : sauver les roux !
Contrairement à ce que l’on aurait pu croire en l’écoutant, il était très sérieux et il chercher simplement à comprendre ce qui avait bien pu arriver pour qu’ils en soit là aujourd’hui et la mieux placer pour le lui dire aujourd’hui c’était elle.


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