Styx-Oaks Magdalena

❯ FEAT : Kathryn Prescott

Carte d'Identité Magdalena est un blaireau féminin qui nous éclaire de son intelligence depuis 17 ans. Cette personne croit qu'elle gagnera le prix de beauté parce qu'elle fait partie des comme vous voulez, sauf Serpentard en 6ème année, une fois de plus. C'est plutôt quelqu'un d’intelligent, assez sadique mais vraiment fidèle. ❯ ASCENDANCE : Malheureusement sang-mêlé. ❯ DATE DE NAISSANCE : 4 janvier 1981. ❯ NATIONALITÉ : Anglaise & polonaise. Quoi ? ❯ CLASSE SOCIALE : J'aime mon argent. ❯ ORIENTATION SEXUELLE : J'aime Vassily. Le reste aussi, mais surtout lui. ❯ CAMP : Je suis pas toujours très gentille, et ça se sait. ❯ COMPAGNON : Un rat, que j'ai appelé Rat. ❯ BAGUETTE : Bois de merisier, 38.5 centimètres avec un poil de licorne. ❯ PATRONUS : Un loup. ❯ EPOUVANTRARD : Vassily... SON AVIS SUR CE QUI CE PASSE Je défends mon camp. Besoin d'en dire plus ?

ONCE UPON A TIME... MY STORY

(j'ai déjà utilisé cette fiche pour d'autres forums, je la modifie à ma sauce si besoin. j'le précise, au cas où...)



Ma vie à Londres était belle. J’avais ce que je voulais. Je ne dis pas que maintenant, je n’ai plus rien, mais je me sens comme… vide. Bref. J’ai eu la chance d’avoir un ami très vite. Plus qu’une chance, certes. Passer plus de dix ans avec une personne aussi gentille que lui, ce n’est pas rien. Notre rencontre était elle le fruit du hasard ? En vérité, je n’en sais rien. Et je m’en fiche, le plus important étant que nous nous sommes liés d’amitié très rapidement. Je me souviens de ce jour là, le jour où lui et moi avons parlés pour la première fois. J’étais dehors, tout simplement. Je ne jouais pas, comme les filles de mon âge. Je ne riais pas, comme les filles de mon âge. Moi, je pleurais. Je pleurais parce que je ne comprenais pas. Je ne comprenais pas que ma mère me laisse. Je ne comprenais pas pourquoi mon oncle, que je devais probablement avoir vu une seule fois dans ma vie se tenait devant la résidence familiale, avec sa voiture de sport rouge. Ma mère se contenta de me faire une bise sur le front avant de partir. Mon père, lui, semblait énervé. Je suis restée, assise, dans l’herbe fraîche. Et il est venu me parler. Il est le seul à être venu me parler, car de toute façon… qui voudrait essayer de parler à une jeune fille assise, pleurant, dont les parents venaient de se séparer pour une histoire d’amour totalement idiote ? Vassily, lui, est venu. Lui, il n’a pas eu peur de me parler comme les autres. Je ne sais pas vraiment pourquoi, d’ailleurs. Je n’habitais pas près de chez lui, d’ailleurs, à ce que je sache. Peut-être que son père l’avait forcé… Il devait certainement se connaître, ma famille étant propriétaire d’une entreprise de vêtements bien connus. Ou alors est-il simplement venu par curiosité. Je ne le lui ai jamais demandé. Et je pense que je ne lui demanderai jamais, de peur d’être déçue par un je ne sais quoi.

Tout s’est enchaîné, rapidement. Je suis devenue plus distante avec mon père, lui en voulant car il a laissé partir ma mère. Je sais que c’est de sa faute. Je sais que s’il avait arrêté de se consacrer uniquement à son argent, il aurait pu garder le cœur de Maman. Je suis devenue plus forte, plus méfiante. Et tout ça à cause de lui. Ce n’est pas un mal, après tout. En me renfermant, j’ai pu me consacrer à mes études et à ma vie. Il n’y a qu’avec une personne que je suis restée moi-même. Toujours la même folle, prête à rire et à s’amuser comme jamais. Prête à tout pour passer du bon temps avec son meilleur ami. Mais j’étais aussi la jeune fille à l’écoute, celle à qui il confiait ses problèmes, ses envies, sa haine. Nous faisions tout ensemble : nous allions à l’école ensemble, nous rentrions de l’école ensemble. Nous nous asseyions même à côté, tout le temps. Il nous est même arrivé de partir en vacances ensemble. Cela arrangeait nos parents, je suppose… Deux enfants, deux belles fortunes en jeu. Mais ça, je ne m’en préoccupais pas.
Nous sommes allés dans une colonie de vacances, en France. Découverte du patrimoine, en compagnie de plusieurs anglais aisés, comme nous. C’était beau, je m’en souviens parfaitement. Après tout, tout le monde se souvient à peu près de sa vie aux alentours de ses dix ans. Je devais en avoir douze, précisément. Je me souviens surtout de ce jour-là, où je me suis rendue compte de pourquoi je suis tant heureuse de voir le visage de Vassily me sourire. C’était notre dernier jour en France. Pour la plupart d’entre nous, nous n’allions pas nous revoir, habitant dans différentes villes d'Angleterre. Alors une petite fête à été organisée, pour marquer la fin de l’été, la fin de notre première aventure d’enfant. J’étais la seule des filles à ne pas porter une petite robe ornée de fleurs. Je portais simplement une robe, de couleur unie. Je ne cherchais pas à passer pour une personne exemplaire. Non, je voulais simplement passer inaperçu. J’étais seule, dans mon coin, avec mon verre de jus de fruit, Vassily lui, se trouvant en compagnie d’amis qu’il s’était fait. Il était doué pour ça, après tout… Moi, je me contentais de regarder les gens, et de trouver leurs défauts. Je ne leur souriais même pas, même si je les respectais. Je pense que ça vient de mon côté « Fous-moi la paix, j’vais très bien sans toi tête de fion ». Que de violence. Bref, passons… La seule personne à qui j’acceptais de sourire et de parler réellement était Vassily, mais en ce moment, il devait être plus occupé à parler à ses amis. Jalousie ? Non non… Pas du tout… Passons. Je l’ai vu, à un moment quelconque de la soirée ( de toute façon, j’étais seule, qu’est-ce que ça pouvait me foutre de retenir le moment précis ?) s’approcher de moi. Il m’a tendu la main, ses amis riant derrière à qui je me suis contenter de lancer un regard de travers, et m’a demandé si je voulais danser avec lui. Dans un film, c’est mignon, mais on sait que c’est un film, on sait que la jeune fille est déjà amoureuse du garçon à ce moment là. Ces films sont complètement débiles. Mais ce qu’il s’est passé, là, en ce moment précis fut différent. La jeune fille du film ne tombe jamais amoureuse sur le moment même. Mais pourtant, dans mon cas, si. J’avais toujours vu Vassily comme un frère, comme mon double, la seule personne en qui je pouvais me retrouver. Mais là, alors que je dansais avec lui, je compris qu’il y avait quelque chose d’autre qui me forçait à rester avec lui. Mon cœur s’est mit à battre plus vite, bordel ! Manquait plus que ça, être amoureuse…

Le temps a passé (ouah, je fais une petite ellipse temporelle dans mon discours… idiote). Je ne lui ai rien dit. Je suis restée muette comme une carpe (expression ridicule) et je me suis encore plus renfermée sur moi-même. Vous me direz, pour parler à des idiots, c’est pas plus mal d’être comme je suis. Je me suis concentrée dans mes études, biologie animale, devenir scientifique quoi. Avec tout ce que j’avais pu faire aux animaux dans mon enfance, j’ai fini par m’y intéresser de plus près. Je n’allais pas reprendre l’affaire familiale… Et ça, on ne peut pas dire que ça plaisait à mon père. Il a commencé à me traiter comme une moins que rien. Encore pire qu’avant, en vérité. Mais je suis restée. Je n’avais nulle part où aller. Enfin… j’aurai pu aller chez lui, oui. Mais si c’est pour avoir encore plus mal au cœur en le voyant, autant rester chez moi.
J’avais envie de passer du temps avec lui. De le prendre dans mes bras, comme avant. De rire, de chanter, de danser, comme des enfants. Mais… je crois que finalement, je n’en étais pas capable. Je crois que la seule chose que je pouvais faire pour oublier, c’était aller dans des fêtes, peu m’importe où. Boire, prendre n’importe quoi, oublier. Oublier que je l’aime. Oublier que mon père refuse de me parler. Oublier que ma mère est partie et que je n’ai plus de nouvelles d’elle. Alors j’oublie. Je me répète, et alors, qu’est-ce que ça peut foutre de toute façon ? On comprend ce que j’raconte quand même, non ?
J’ai dix-sept ans. Mon père en a marre de moi. Il ne me parle plus du tout, ne me regarde pas. Il paye les factures, et voilà à quoi se résume, en partie, sa vie. Moi… moi j’oublie toujours. Je prends du plaisir à voir mon meilleur ami, mais j’en souffre également. Et un jour il m’a dit « Je m’en vais. ». Comme ça. On en a parlé. La famille, apparemment… Lui, au moins, son père se souciait de lui… Alors ça a dérapé. Je l’ai insulté. Je lui ai dis qu’il m’avait promis de rester avec moi. Je lui ai dis que sans moi il n’était rien non plus. Que je suis sa raison de vivre, que je suis celle qui lui permet de réussir ses études. Et il m’a juste dit qu’il n’en pouvait plus, que j’étais… niaise, que je me croyais trop supérieure. Et il est parti. Loin de moi. Me laissant seule, livrée dans ce monde qui semblait s’effondrer. Mais en tant que sorcière, j’ai le droit de me montrer supérieure, non ? Si. J’en suis certaine. Je fais ce que je veux…

PHYSIQUE & PSYCHOLOGIE Je suis toujours passée pour la fille fragile. Celle qui sait rien faire parce qu’elle passe son temps à travailler pour ses études. Je suis toute seule, tout le temps. Alors sur le coup, je suis victime de regards étranges assez souvent. Je m’y habitue. Si on m’emmerde, j’emmerde aussi, de toute façon. C’est radical, non ? Je crois que ce qui les perturbe le plus, c’est que même si je passe mon temps à travailler, je sais m’éclater plus qu’eux. Je sais comment passer une bonne fête. Je sais comment me relâcher de la pression. Je sais ouvrir une bière avec les dents. Aucun rapport ? Et alors ? Passons outre ça. J’ai quand même l’attitude d’une fille à peu près normale, certaines fois. Je sais baisser les yeux lorsque quelqu’un m’impressionne. Oh, je vous rassure, ça n’arrive pas souvent ! Je n’ai jamais réellement trouvé quelqu’un qui me fait peur… Enfin je crois. Je suis trop timide pour rester sage. Hein ? Oui, ça se contredit, et alors ? Je dis ce que je veux. On me dit arrogante, je me dis juste intelligente. Il n’y a pas de raison qu’un jour, j’ai tort. Les profs me répètent d’ailleurs assez souvent ça. Je cache mon jeu. Je passe pour une que je ne suis pas. Oui, je sais, je l’ai déjà dit. Je ne vois pas en quoi ça dérange. De toute façon, à quoi est-ce que ça sert ? Je passe mon temps seule. Enfin… Avant, je n’étais pas si seule que ça. Mais ça, c’est une autre histoire. Maintenant j’ai compris. J’ai changé. Je suis mieux seule. Assez forte, assez intelligente. J’ai envie de quelqu’un ? Je le prends. J’ai envie de quelques choses ? On me le donne. J’ai compris que si je voulais vivre, survivre, je me devais de montrer au monde qui je suis. On aime mon physique. On aime comme je m’habille. On aime mes cheveux, mon maquillage. Alors que finalement, je ne fais qu’être différente. On n’aime pas la différence, habituellement. On aime ce qui se ressemble car ainsi, on sait ce qu’il nous attend. On n’a pas de surprises. Mais certaines fois, on a envie de découvrir l’inconnu. On a envie d’en savoir plus, de connaître ce que l’on ne sait pas. Alors on vient me voir, moi. Avec mon air travailleur et mes longs cheveux dans lesquels je passe mon temps à passer ma main. Ils viennent voir mes yeux, mes yeux qui cherchent à refléter la sagesse et la gaieté. Ah, s’ils savaient. Oh, certains savent, que la plupart du temps, je fini à terre, lessivée, mon foie rempli d’alcool qu’il cherche à digérer. C’est un moyen de m’échapper. Pour certain je suis fine. Pour d’autre, je suis maigre. Et encore, il y en a qui disent que je suis parfaite. Je ne saurai qui croire, et peu m’importe. Mon apparence n’est pas le plus important de mes soucis. Je suis mieux que les autres, je m’en suis rendue compte rapidement.

Yeah Geek Power !!!

Pseudo : je suis une Kyky d'amour. Tu as quel âge ? 2 ans, je crois. Ou peut-être 3. Tu nous a trouvé où ? Dans ma villa de la foret d'Agogo. Et t'en penses quoi ? Que devrait autoriser le droit de votes aux pingouins et aux manchots.. T'as un autre compte ? Lequel ? Le gay relou qui porte des jupes. T'as pas un truc à nous dire hein ? ma kyky c'est la meilleure elle a trouvé du premier coup *w* Yeah c'est fresh ça 8D Mais encore ? *o* texte ici.

Jouer un perso assez différent d'Ezekiel va me faire bizarre !
Merci pour la re-bienvenue en tout cas mes lapins
(et Mione, je te bouuuude.)

Merci bien, brave Choixpeau.

Comme on m'a fait des reproches -regard appuyé sur Léa- je n'oublie pas le re-bienvenue =)
Ton personnage me fait penser à un des miens autre part ; pas parce qu'ils se ressemblent mais... à cause des célébrités XD (et pourtant, je n'ai même pas regardé Skins)

Han, t'as pas regardé Skins ? Mais tu devrais ! Cette série est si... (à part les deux dernière saisons en fait, elles sont nulles à chier.)
Brefouille, merci pour la re-bienvenue !