ONCE UPON A TIME... MY STORY
Daehnryl est née en Norvège et a toujours vécue la bas, dans un petit village enneigé les trois quart de l’année, elle a vécue les premières années de sa vie avec sa mère et son père. Bien que sa mère soit une vélane, il a toujours semblé a la jeune fille que son père aimait profondément sa femme pour des raisons qui allaient au-delà du physique, fascinée par cet amour, la petite fille voulait a son tour trouvé le prince charmant quand elle serait grande. Mais elle déchanta rapidement quand ses parents divorcèrent, en effet, sa mère c’était éprise d’un autre homme, encore un moldus, avec qui elle et Daehnryl vécurent rapidement. A partir de là la jeune fille ne vit son père qu’a de rares occasion. Le nouveau maris de sa maman était très gentil avec la jeune enfant de 8 ans, mais elle partit assez rapidement en Angleterre pour aller étudier la sorcellerie a Poudlard, elle ne retrait que pour noël et les vacances d’été, heureusement elle pouvait fêter son anniversaire durant ces rares moments auprès de sa famille. Ses premières années se déroulèrent sans heurt, c’était une élève moyenne, comme les autres quoi, a l’exception fait que les garçons de son âge la regardaient plus souvent que les autres. Mais elle n’était pas tout a fait formée, ainsi, elle n’attirait que les enfants du même âge et cela restait relativement innocent. Mais un jour, lors de la fin de sa troisième année, elle rentra chez elle et sa mère était avec un nouvel homme qui avait amené son fils avec lui. La jeune fille tomba immédiatement sous le charme du jeune homme, et le don de la jeune fille fit que c’était réciproque, il s’en suit alors une histoire d’amour assez passionnel, et qui semblait continuée malgré la distance qui séparait les deux adolescents, lorsqu’elle rentra, pour noël, elle eut la désagréable surprise de la voir avec une autre fille, non loin de la gare. Lorsqu’elle lui demanda pourquoi, il fut incapable de répondre autre chose que « lorsque tu es là, je suis incroyablement amoureux de toi, mais le reste de l’année tu es trop loin et je ne ressent plus rien… » elle en conclut alors que seul son don attirait le jeune homme et mit fin a la relation malgré les protestations de celui-ci. Mais elle le vécu plutôt bien, consciente qu’elle ne voulait pas de quelqu’un qui partageait un amour si superficiel, elle décida que ça ne l’empêcherai pas de passer de bonnes vacances.
Et ce fut le cas, ce n’est pas ça qui empêcha ses vacances d’être gâchée, alors que sa mère était partie faire des courses, Daehnryl se retrouva seule dans la maison, et son beau père rentra plus tôt que prévu, il retrouva donc la jeune fille en train d’arroser ses fleurs dans le salon, il ne put alors pas s’empêcher de lui faire des avances plus que grossière allant jusqu'à lui forcer un baisé, heureusement la mère de la jeune fille rentra rapidement, et le don de cette dernière étant plus puissant que celui de sa fille, l’homme arrêta. Mais il était trop tard, la mère de l’adolescente vira tout azimut le père et le fils a recours de coups de pied au derrière et d’une transformation en harpie plutôt effrayante. Elle tenta ensuite de rassurer sa fille en pleure, dans le salon, mais rien ni fit. Elle ne pouvait plus faire réellement confiance aux hommes, pas au point de les fuir, bien sur elle avait des amis autour d’elle et les aimait trop pour ça, mais elle se trouva rapidement intéresser d’avantage par les filles, pour la bonne raison que son don n’avait aucune influence sur elles. Sa mère l’accepta parfaitement et refusa de s’installer avec d’autres hommes a partir de là.
La cinquième année de la jeune fille fut interrompu par la guerre, sa mère la rapatria rapidement en Norvège pour qu’il ne puisse rien lui arriver et elle fit venir un instituteur a domicile, bien qu’elle n’avait pas réellement les moyens. C’est pour cette raison que Daehnryl ne redoubla pas son année et put reprendre ses études a poudlard en sixième année.
30-40 lignes Word minimum
Daehnryl s’approcha du miroir en face d’elle, et toucha du bout des doigts la jeune fille qui mima son action, elle releva la tête doucement et regarda alors celle qui la dévisageait a présent. Elle avait des yeux très clair, bleu gris, bien que le temps puisse les faire change sa guise, et de long cheveux blond argenté, presque blanc, héritage de sa mère, de sa race de vélane… Ils étaient épais et légèrement ondulés. Elle fixa un instant les deux grands yeux en face d’elle, puis se pencha d’avantage pour observer son nez, il était rond et légèrement retroussé, rien de vraiment fantastique ou notable, elle aurait voulu y voir une petite bosse, pour changer de celui des autres… Mais rien de tout cela, de toute façon, peut importe le physique qu’elle arborait, les hommes la trouverai parfaite, alors qu’elle ne l’était décemment pas, elle n’aimait pas, par exemple ses sourcils, ils n’avaient pas de forme a eux et étaient trop fournis a son humble avis, mais elle ne faisait rien pour les arranger, a quoi bon ? Elle refusait de souffrir d’avantage de son apparence. Ses lèvres aussi, elle les trouvait trop charnue, elle aurait bien aimé en avoir des plus fines, comme son père, mais elle avait celles de sa mère, de toute façon elle avait tout pris de sa mère. Daehnryl se recula ensuite du miroir pour observer le corps de celle qui lui faisait face avec un plus de recul, elle était si frêle, comme si elle pouvait tombé a tout moment, sans être pour autant maigre mais… C’était ce qui se dégageait d’elle, un château de carte a beau être épais, si un coup de vent passe, il s’écroule. Bien sur, elle avait des formes plutôt harmonieuse, sans pour autant qu’elles soit exagéré, pas comme les trois quart des filles de poudlard qui mettaient du coton dans leur sous-vêtement et encore, quand ça n’était pas un sortilège pour faire gonfler le tout… Voulait elle vraiment être avec une personne qui ne s’intéresse qu’a leur poitrine ? Et puis voila, c’est tout ce qu’elle pouvait dire sur la jeune fille qui lui faisait face, rien de particulier a part ses cheveux qui semblaient voler autour d’elle. Alors pourquoi, pourquoi les hommes la considérait elle comme la huitième merveille du monde ? La plupart des filles auraient tués pour ce don, Daehnryl le maudissait, elle aurait voulu passer inaperçue dans les foules, mais c’était vain, tous se retournait sur son passage, peut être n’aurait elle pas été vélane, peut être aurait elle apprécier ces égard, mais là, elle savait bien que ce n’était pas elle qui était attirante mais son don… Elle en souffrait vraiment, c’est pour cela qu’elle en était venue a aimer les filles, parce qu’elles n’étaient pas victime de sa malédiction et donc l’aimait pour ce qu’elle était, aussi simple que cela. En dehors de cela, elle était une jeune fille vive et intrépide, elle passait le plus clair de son temps dehors, ne pouvant supporter d’être enfermé, libre penseuse, elle aimait dire ce qu’elle pensait en douceur, toujours pleine de gentillesse et de bonté pour qui la méritait, en son sens, tout le monde. Mais gare a ceux qui voudraient se jouer de sa candeur, elle les éliminerai rapidement de sa vie, sans pour autant chercher a se venger. Daehnryl est dévouée corps et âme aux personnes qui lui sont cher, et plus que tout, dévouée a la planète entière, voulant protéger chaque arbre, chaque animal, consciente que les moldus sont en train de détruire celle qui lui a donné la vie. Intelligente, elle excelle en botanique et en potion, elle se révèle également très adroite sur un balais, le reste…elle essaye de le travailler au maximum, non pas par gout, mais nécessité, elle sait que tout ce qu’elle pourra engranger comme connaissance a Poudlard lui servirait plus tard. Cela ne viens donc pas de son intelligence (dans la moyenne) ni de son gout pour les études, mais simplement de sa détermination. C’est une jeune fille incroyablement obstinée dans ses idées, elle ne reculera devant rien ni personne pour prouver qu’elle avait raison, de toute façon elle ne s’obstine que lorsqu’elle est convaincue du bien fondé de ses actions. Cependant, même en plein conflit, elle ne perdra jamais son calme, rien ni personne ne semble pouvoir la faire sortir de ses gonds, toujours souriante et pleine de vie, elle prend le positive et rejette le négatif convaincue que même si la nuit est très noir, l’aube finira toujours par subvenir.
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